Légende
Ce ne sont pas tous les pêcheurs qui aiment un gros attirail de pêche. Beaucoup restent fidèles à la « canne de vers ». C’est une question de goût, disent-ils… et parfois de résultats. Les mains vides au retour d’une fin de semaine de pêche, plus d’un père a rougi en se mordant les doigts en apprenant que son fils de huit ans, équipé seulement d’une canne à pêche en saule, d’un hameçon et d’un pauvre vers, a attrapé le repas du soir qui nage tranquillement dans le bain.
Date de diffusion
mai 7, 1957
Matériaux
Texte avec illustrations
Collection
Fonds du MCPC
Référence de source
Fonds du Musée canadien de la photographie contemporaine, Musée des beaux-arts du Canada Bibliothèque et Archives
Légende
Le Canada, disent les amateurs de pêche du monde entier, est le meilleur pays de pêche sportive du monde. Des millions de lacs aux eaux cristallines, des milliers de cours d’eau argentés attendent l’exode urbain annuel des pêcheurs enthousiastes, armés de leurres aux couleurs vives, qui vont mesurer leur art contre l’ingéniosité du poisson. Ci-dessus, Bill Macdonald et Stephen Greenlees ramènent un grand brochet de 18 livres qui a vigoureusement résisté dans la rivière Pikitigushi, au nord du lac Nipigon.
Date
juillet 1, 1946
Numéro d'acquisition
LAC-NFB28015
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011175729
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
Ci-dessus, un motif d’écaille de poisson est peint sur un appât devon pour simuler la peau d’une perche. Les devons à l’arrière-plan ressemblent à des ménés émeraude, des chevaines, des éperlans et des suçoirs – des poissons de fourrage que les espèces sportives recherchent comme nourriture.
Date
juin 1, 1956
Numéro d'acquisition
LAC-NFB77141
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011176262
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
L’éternel favori est l’appât en forme de cuillère oscillante. Son comportement de méné blessé a fait mordre bien des maskinongés, dorés, achigans, brochets et truites à l’hameçon d’un sportif ravi.
Date
juin 1, 1956
Numéro d'acquisition
LAC-NFB77142
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011176263
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
Certains des appâts les plus populaires, dont les pêcheurs à la ligne chevronnés ne se passeraient pas, sont présentés ci-dessus : tortillon aux yeux rouges, flèches argent et cuillère en forme de haricot pivotante où traîne un hameçon à plume à trois crochets.
Date
juin 1, 1956
Numéro d'acquisition
LAC-NFB77143
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011176264
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
On crée constamment de nouveaux concepts d’appât qui sont testés, rejetés ou approuvés. Ci-dessus, Frank Edgar et son fils Bill discutent d’un nouveau devon que leur entreprise de Peterborough en Ontario a produit pour la saison de pêche de cette année.
Date
juin 1, 1956
Numéro d'acquisition
LAC-NFB77144
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011176265
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Photo-reportage no 104 Les sportifs canadiens toujours préparés : des appâts pour tous les goûts
Photographes
,
,
Auteur
Office national du film du Canada
Date de diffusion
mai 7, 1957
Collection
Fonds du MCPC
Référence de source
Fonds du Musée canadien de la photographie contemporaine, Musée des beaux-arts du Canada Bibliothèque et Archives
Texte principal
Ce ne sont pas tous les pêcheurs qui aiment un gros attirail de pêche. Beaucoup restent fidèles à la « canne de vers ». C’est une question de goût, disent-ils… et parfois de résultats. Les mains vides au retour d’une fin de semaine de pêche, plus d’un père a rougi en se mordant les doigts en apprenant que son fils de huit ans, équipé seulement d’une canne à pêche en saule, d’un hameçon et d’un pauvre vers, a attrapé le repas du soir qui nage tranquillement dans le bain.
