Légende
Quand Christoph Colomb a découvert l’Amérique, les Indiens des Six Nations pratiquaient déjà un sport appelé baggataway! Les colons français le baptisèrent lacrosse en raison du bâton courbé qu’utilisaient les joueurs et qui ressemblait à la crosse d’un archevêque. On a longtemps considéré ce sport rude, joué à l’intérieur et à l’extérieur, comme le jeu national du Canada. La seule usine de fabrication de bâtons lacrosse au Canada est la propriété des Indiens Mohawks de Cornwall en Ontario.
Date de diffusion
juillet 16, 1957
Matériaux
Texte avec illustrations
Collection
Fonds du MCPC
Référence de source
Fonds du Musée canadien de la photographie contemporaine, Musée des beaux-arts du Canada Bibliothèque et Archives
Légende
Dick Seymour, l’un des douze Indiens employés à l’usine située sur la réserve de Saint-Régis, utilise un couteau à deux manches pour fabriquer un bâton. L’usine produit plus de 14 000 bâtons par année, vendus principalement aux équipes de la côte Ouest et des États-Unis.
Date
mars 1, 1957
Numéro d'acquisition
LAC-NFB79705
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011176481
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
Mme Katie Caldwell, comme toutes les autres employées de la compagnie, travaille à la maison. On la voit ici garnir un bâton de cuir de vache. C’est ainsi qu’elle apprend cette tâche à ses deux petits-enfants.
Date
mars 1, 1957
Numéro d'acquisition
LAC-NFB79706
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011176482
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
Les bâtons de lacrosse sont faits de noyer solide. L’extrémité du bâton est chauffé à la vapeur durant environ une heure afin de pouvoir le courber sans le briser. Une fois l’extrémité formée, elle est attachée avec du fil de fer et doit sécher durant un an. On voit ici Tom White à l’œuvre.
Date
mars 1, 1957
Numéro d'acquisition
LAC-NFB79707
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011176483
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
Bessie, la fille de Frank Roundpoint, copropriétaire de l’usine, pose avec deux bâtons finis. Elle rappelle la grâce avec laquelle ses ancêtres jouaient à ce sport vigoureux.
Date
mars 1, 1957
Numéro d'acquisition
LAC-NFB79708
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011176484
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Photo-reportage no 114 À la réserve de Saint-Régis : 14 440 bâtons pour jouer à baggataway
Photographes
,
Auteur
Office national du film du Canada
Date de diffusion
juillet 16, 1957
Collection
Fonds du MCPC
Référence de source
Fonds du Musée canadien de la photographie contemporaine, Musée des beaux-arts du Canada Bibliothèque et Archives
Texte principal
Quand Christoph Colomb a découvert l’Amérique, les Indiens des Six Nations pratiquaient déjà un sport appelé baggataway! Les colons français le baptisèrent lacrosse en raison du bâton courbé qu’utilisaient les joueurs et qui ressemblait à la crosse d’un archevêque. On a longtemps considéré ce sport rude, joué à l’intérieur et à l’extérieur, comme le jeu national du Canada. La seule usine de fabrication de bâtons lacrosse au Canada est la propriété des Indiens Mohawks de Cornwall en Ontario.
