Légende
La tendance moderne dans la lutte contre les contrevenants est d’harmoniser la sentence au criminel plutôt qu’au crime. L’emprisonnement n’est plus considéré suffisant; la vie en prison doit aider le détenu à changer pour assurer à la société une protection à long terme.
Date de diffusion
juillet 30, 1957
Matériaux
Texte avec illustrations
Photographes
Lunney, GarCollection
Fonds du MCPC
Référence de source
Fonds du Musée canadien de la photographie contemporaine, Musée des beaux-arts du Canada Bibliothèque et Archives
Légende
Le parrain du jeune homme l’aide à trouver un emploi. Depuis sept ans, plus de 80 % des hommes mis en liberté conditionnelle ont respecté la loi. Les Associations Borstal soulignent que davantage d’écoles et le personnel d’hommes qualifiés dont elles ont grand besoin, pourraient obtenir à des résultats similaires avec d’autres contrevenants.
Date
juillet 1, 1954
Numéro d'acquisition
LAC-NFB71365
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011175988
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
La philosophie Borstal soutient que la punition est la perte de liberté et qu’il n’y a aucun avantage à rendre l’emprisonnement encore moins plaisant qu’il le faut. Son idéal est de renvoyer le détenu dans la communauté comme un citoyen meilleur, capable d’exercer sa liberté.
Date
juillet 1, 1954
Numéro d'acquisition
LAC-NFB71380
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011175989
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
Les hommes sont libérés de New Haven quand ils sont « psychologiquement prêts » à la liberté, sous la supervision de l’Association Borstal de C.-B. Ci-dessus, la Commission des libertés conditionnelles tient une audience : à table, F.C. Boyes à gauche, Oscar L. Erickson au centre, H.C. Grant à droite, V.H. Goad, le travailleur social, à l’extrême droite; J.D. Rickaby, de l’Association Borstal de C.-B., près du centre.
Date
juillet 1, 1954
Numéro d'acquisition
LAC-NFB71385
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011175990
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
Les prisonniers sont envoyés à New Haven en C.-B., à la suite d’une soigneuse classification de leurs besoins indiquant qu’ils tireraient profit d’un programme de formation intensive dans des conditions de sécurité minimum. Établissement « ouvert » de type Borstal, New Haven reçoit seulement les contrevenants âgés de 16 à 23 ans, les années durant lesquelles les criminels deviennent invétérés.
Date
juillet 1, 1954
Numéro d'acquisition
LAC-NFB71387
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011175991
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
Puisqu’un criminel a besoin d’entreprendre une modification de ses attitudes, de ses habitudes et de sa personnalité, plusieurs criminologues modernes s’opposent à une sentence « courte », car elle conduit rarement à la réhabilitation. La sentence « flexible » est considérée essentielle à tout programme de formation dans laquelle on acquiert des compétences et où les attitudes antisociales sont réformées.
Date
juillet 1, 1954
Numéro d'acquisition
LAC-NFB71392
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011175992
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Photo-reportage no 116 Le régime Borstal : l’apprentissage de la liberté
Photographes
Auteur
Office national du film du Canada
Date de diffusion
juillet 30, 1957
Collection
Fonds du MCPC
Référence de source
Fonds du Musée canadien de la photographie contemporaine, Musée des beaux-arts du Canada Bibliothèque et Archives
Texte principal
La tendance moderne dans la lutte contre les contrevenants est d’harmoniser la sentence au criminel plutôt qu’au crime. L’emprisonnement n’est plus considéré suffisant; la vie en prison doit aider le détenu à changer pour assurer à la société une protection à long terme.
Lieux
