Légende
L’agent de police technique, Herb Mills, indique les traits faciaux distinctifs particuliers sur des masques portraits conçus par la Gendarmerie royale du Canada. Adepte et étudiante enthousiaste, Mlle Eitel s’est classée deuxième à la fin de son entraînement sur une classe de 25 recrues – dont 22 étaient des hommes. La constable Eitel a travaillé comme infirmière diplômée avant de passer à des fonctions policières qu’elle trouve infiniment intéressantes et satisfaisantes.
Date de diffusion
avril 28, 1959
Matériaux
Texte avec illustrations
Photographes
Lunney, GarCollection
Fonds du MCPC
Référence de source
Fonds du Musée canadien de la photographie contemporaine, Musée des beaux-arts du Canada Bibliothèque et Archives
Légende
Parmi le nombre grandissant de femmes au Canada qui songent carrière dans la police, Mlle Dolores Eitel d’Hamilton est l’une de trois jeunes femmes récemment reçues dans la force policière de cette prospère ville du sud de l’Ontario.
Date
mars 1, 1959
Numéro d'acquisition
LAC-NFB88125
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011176984
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
La policière Eitel prend une pause durant la patrouille de son secteur de la rue principale d’Hamilton pour admirer la dernière mode des robes de mariage. Le corps de police d’Hamilton exige des policières qu’elles démissionnent après leur mariage. Les qualifications et les règlements varient d’une ville à l’autre. Vancouver en C.-B. prétend être la première ville canadienne à employer des policières, ayant recruté la première femme dans sa force en 1912. Vancouver compte aujourd’hui seize policières.
Date
mars 1, 1959
Numéro d'acquisition
LAC-NFB88128
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011061619
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
La plupart des grandes villes canadiennes emploient aujourd’hui des femmes dans leur police et cette pratique gagne de plus en plus la faveur de plusieurs villes plus petites. Les femmes, outre l’exécution de la plupart des tâches régulièrement effectuées par les policiers, sont préférées pour certains devoirs quand les jeunes filles et les femmes sont concernées. Ci-dessus, la constable Eitel explique à une classe de l’École Robert Land l’importance de connaître et d’obéir aux règles de la sécurité routière.
Date
mars 1, 1959
Numéro d'acquisition
LAC-NFB88131
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011176986
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
À l’Académie de police d’Hamilton, les femmes reçoivent le même entraînement que les hommes. Les cours incluent le judo, la photographie et l’identification par empreintes digitales.
Date
mars 1, 1959
Numéro d'acquisition
LAC-NFB88136
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011176987
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Photo-reportage no 207 Les femmes envahissent les postes de police
Photographes
Auteur
Office national du film du Canada
Date de diffusion
avril 28, 1959
Collection
Fonds du MCPC
Référence de source
Fonds du Musée canadien de la photographie contemporaine, Musée des beaux-arts du Canada Bibliothèque et Archives
Texte principal
L’agent de police technique, Herb Mills, indique les traits faciaux distinctifs particuliers sur des masques portraits conçus par la Gendarmerie royale du Canada. Adepte et étudiante enthousiaste, Mlle Eitel s’est classée deuxième à la fin de son entraînement sur une classe de 25 recrues – dont 22 étaient des hommes. La constable Eitel a travaillé comme infirmière diplômée avant de passer à des fonctions policières qu’elle trouve infiniment intéressantes et satisfaisantes.
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