Légende
Les Indiens ont été les premiers à « prendre » les abondants kiacks – des eaux miroitantes de la Nouvelle-Écosse et les pêcheurs d’aujourd’hui peuvent toujours les prendre de la manière traditionnelle, à l’aide d’épuisettes fabriquées par les Indiens de la région. Ce sont deux robustes pêcheurs qui détiennent le record de 45 000 kiacks « puisés » dans une seule journée. Les poissons sont vendus aux marchands locaux pour un prix moyen de 1,15 $ la centaine. Les pêcheurs chevronnés gagnent jusqu’à 1 000 $ dans une période de six semaines. L’an dernier, un million et demi de ces soi-disant « petits poissons indiens » ont été pêchés dans le seul comté provincial de Yarmouth.
Date de diffusion
janvier 12, 1960
Matériaux
Texte avec illustrations
Photographes
Brooks, BobCollection
Fonds du MCPC
Référence de source
Fonds du Musée canadien de la photographie contemporaine, Musée des beaux-arts du Canada Bibliothèque et Archives
Légende
Les Indiens l’appellent kiacks, les Français le surnomment gaspareau et les Anglais l’appellent alewives, mais ils évoquent tous la même chose – le petit poisson plat étincelant qui, à tous les printemps, envahit les eaux intérieures de la Nouvelle-Écosse et que l’on pêche par millions comme appât pour le homard.
Numéro d'acquisition
LAC-NFB89732
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011177139
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
Outre la demande élevée de ces poissons par l’industrie du homard vivant des Maritimes, environ de la moitié de la prise est salée, fumée et vendue commercialement. Une bonne partie de la variété marinée et salée est exportée aux États-Unis et dans les Caraïbes.
Numéro d'acquisition
LAC-NFB89731
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011177138
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Photo-reportage no 244L Le poisson indien de Nouvelle-Écosse
Photographes
Auteur
Office national du film du Canada
Date de diffusion
janvier 12, 1960
Collection
Fonds du MCPC
Référence de source
Fonds du Musée canadien de la photographie contemporaine, Musée des beaux-arts du Canada Bibliothèque et Archives
Texte principal
Les Indiens ont été les premiers à « prendre » les abondants kiacks – des eaux miroitantes de la Nouvelle-Écosse et les pêcheurs d’aujourd’hui peuvent toujours les prendre de la manière traditionnelle, à l’aide d’épuisettes fabriquées par les Indiens de la région. Ce sont deux robustes pêcheurs qui détiennent le record de 45 000 kiacks « puisés » dans une seule journée. Les poissons sont vendus aux marchands locaux pour un prix moyen de 1,15 $ la centaine. Les pêcheurs chevronnés gagnent jusqu’à 1 000 $ dans une période de six semaines. L’an dernier, un million et demi de ces soi-disant « petits poissons indiens » ont été pêchés dans le seul comté provincial de Yarmouth.
Sujets
Lieux
