Le tabac est l’un des produits agricoles les plus profitables de l’Ontario et la récolte de 1959, actuellement mise en marché, devrait rapporter 85 millions de dollars. Si la production de l’été dernier était un peu moins élevée que la meilleure de tous les temps de 176 millions de livres de tabac jaune en 1958, les prix élevés de ce qui est considéré comme la "récolte de la meilleure qualité » jamais moissonnée devraient compenser la perte due à la réduction des acres cultivés, de la grêle et des gels hâtifs. Ci-dessus, les acheteurs de l’Ontario Flue-Cured Growers Marketing Warehouse à Tillsonburg, Ontario.

Plusieurs cultivateurs d’aujourd’hui sont d’ascendance hollandaise, belge, hongroise, allemande et polonaise. Les femmes aux doigts agiles attachent les feuilles pour le four. Après quoi, le succès de la récolte se trouve entre les mains de « l’homme de séchage ». Il doit entretenir le feu, augmenter la température graduellement durant cinq à six jours. Une erreur de sa part peut coûter cher. Plusieurs des « hommes de séchage », comme celui présenté ci-dessus, viennent d’Amérique du Sud.

Plusieurs cultivateurs d’aujourd’hui sont d’ascendance hollandaise, belge, hongroise, allemande et polonaise. Les femmes aux doigts agiles attachent les feuilles pour le four. Après quoi, le succès de la récolte se trouve entre les mains de « l’homme de séchage ». Il doit entretenir le feu, augmenter la température graduellement durant cinq à six jours. Une erreur de sa part peut coûter cher.