Légende
Faire le ménage sur un navire, dont le pont fait 730 pieds, n’est pas une mince affaire, mais deux membres de l’équipage du Murray Bay s’y adonnent avec bonne volonté. La vie à bord d’un cargo moderne est relaxante et plaisante; sept téléviseurs aident les officiers et les hommes à combler leurs heures de loisir durant le voyage de 2 000 milles de la Voie maritime.
Date de diffusion
juillet 26, 1960
Matériaux
Texte avec illustrations
Collection
Fonds du MCPC
Référence de source
Fonds du Musée canadien de la photographie contemporaine, Musée des beaux-arts du Canada Bibliothèque et Archives
Légende
Nos aïeux, animés de la vision audacieuse de la Voie maritime du Saint-Laurent, et qui rêvaient du jour où d’immenses cargos descendraient le majestueux cours d’eau continental, chargés des céréales de l’Ouest, et remonteraient avec le minerai de fer des riches mines du nord du Québec et du Labrador, regardent leur rêve devenir réalité. En juin de cette année, le cargo géant Murray Bay, présenté ci-dessus lors de son entrée dans l’écluse Saint-Lambert à Montréal, a fait son voyage inaugural, chargé de la plus grande cargaison jamais transportée par la Voie maritime depuis son ouverture. Elle a transporté 900 000 boisseaux de céréales mixtes de la Tête-des-lacs au port de Québec, et a remonté un record de 27 082 tonnes de minerai de fer, chargées à Sept-Îles pour Ashtabula en Ohio.
Date
juin 1, 1960
Numéro d'acquisition
LAC-NFB93243
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011177316
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
Le capitaine du Murray Bay, Andrew Allen de Sarnia en Ontario, navigue depuis 44 ans. Son bateau le plus récent, 730 pieds de long et 75 pieds de large, est le maximum permissible sur la Voie maritime.
Date
mai 1, 1960
Numéro d'acquisition
LAC-NFB93038
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011177311
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
Diane Lunney d’Aylmer au Québec, qui s’est rendue à Prescott pour voir le Murray Bay lors de son voyage inaugural, médite sur un groupe de laquiers amarrés au vieux canal près d’Iroquois en Ontario. Ces vétérans chevronnés du trafic fluvial sont devenus obsolètes avec l’avènement des nouveaux et gros vraquiers. La capacité de cargaison du Murray Bay est égale à neuf laquiers de 250 pieds.
Date
mai 1, 1960
Numéro d'acquisition
LAC-NFB92969
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011177310
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
Les installations modernes de chargement du minerai à Sept-Îles au Québec peuvent remplir simultanément deux des vingt écoutilles du Murray Bay. La cargaison est destinée aux aciéries avides du continent américain. Durant la première saison de la Voie maritime, les céréales et le minerai de fer ont représenté 62 % du trafic. Il y a cinq gigantesques cargos comparables à Murray Bay, qui naviguent aujourd’hui les eaux de la Voie maritime sous drapeau canadien; un autre est en voie d’achèvement.
Date
mai 1, 1960
Numéro d'acquisition
LAC-NFB93077
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011177313
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Photo-reportage no 264 Le majestueux cargo Murray Bay : le géant de la Voie maritime
Photographes
,
Auteur
Office national du film du Canada
Date de diffusion
juillet 26, 1960
Collection
Fonds du MCPC
Référence de source
Fonds du Musée canadien de la photographie contemporaine, Musée des beaux-arts du Canada Bibliothèque et Archives
Texte principal
Faire le ménage sur un navire, dont le pont fait 730 pieds, n’est pas une mince affaire, mais deux membres de l’équipage du Murray Bay s’y adonnent avec bonne volonté. La vie à bord d’un cargo moderne est relaxante et plaisante; sept téléviseurs aident les officiers et les hommes à combler leurs heures de loisir durant le voyage de 2 000 milles de la Voie maritime.
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