Légende
Depuis la phénoménale vogue de la beauté depuis la fin de la guerre, les écoles de maintien canadiennes sont aujourd’hui un commerce florissant de deux millions de dollars, qui enseignent les séducteurs secrets du maquillage, de la bonne tenue et de la garde-robe à de potentiels mannequins de carrière et aux femmes au foyer. Ce mouvement en faveur de l’amélioration de soi est si grand que l’an dernier, dans la région de Toronto seulement, quelque 8 000 femmes ont dépensé 400 000 $ en cours commerciaux et du YWCA, conçus pour les rendre plus belles sur le podium des défilés ou dans la cuisine. Sur leurs bicyclettes, ces élèves suivent des exercices d’amincissement de la silhouette sous la supervision de l’instructrice et mannequin Hilda Land. Les cours d’amincissement de la silhouette visent à corriger les défauts dus à un manque d’exercice, à un maintien négligé et à un mauvais régime. Le but ultime : la symétrie idéale du parfait 34 po-24 po-34 po.
Date de diffusion
février 7, 1956
Matériaux
Texte avec illustrations
Photographes
Lund, ChrisCollection
Fonds du MCPC
Référence de source
Fonds du Musée canadien de la photographie contemporaine, Musée des beaux-arts du Canada Bibliothèque et Archives
Légende
La grâce et la bonne tenue, des atouts importants en société et pour la profession de mannequin, sont une partie intégrante de la formation des écoles de maintien. Les élèves adolescentes regardent alors que l’enseignante Lois Piton (elle-même « Mademoiselle Signature de 1952 ») fait faire aux élèves des exercices de défilé sur le podium. Le coût d’un cours général dans les écoles commerciales est d’environ 80 $.
Date
décembre 1, 1955
Numéro d'acquisition
LAC-NFB75367
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011176139
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
Des conseils sur les vêtements et les accessoires, convenant adaptés à la personnalité et au portefeuille de chaque individu, sont donnés à ces élèves débutantes. Des conseils sur l’utilisation des tissus et de la couleur, du style et de l’emploi des accessoires, s’avèrent précieux tant pour les ménagères que les mannequins inscrites au cours. Ici, l’instructrice Jeannine Mallinson donne des conseils sur les styles de chapellerie féminine.
Date
décembre 1, 1955
Numéro d'acquisition
LAC-NFB75370
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011176140
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
Cette femme au foyer torontoise, qui se prête à une transformation faciale experte, utilise les services d’une industrie canadienne unique, consacrée aux femmes en quête de vénusté. Outre les cours de maquillage, les écoles de maintien canadiennes offrent également des classes sur l’amincissement de la silhouette, la garde-robe, la pose de voix et la bonne tenue.
Date
décembre 1, 1955
Numéro d'acquisition
LAC-NFB75372
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011176141
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
Dans cette école de maintien de Toronto, l’enregistrement sur bande de la voix sert à apprendre aux élèves le contrôle de la respiration, de la résonance et de la tonalité, comme moyen de développer une belle voix. L’an dernier, cette école de maintien a formé quelque 1 000 élèves; dont 200 adolescentes, 500 travailleuses et 300 femmes au foyer.
Date
décembre 1, 1955
Numéro d'acquisition
LAC-NFB75373
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011176142
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Photo-reportage no 43 Les écoles de maintien, un commerce de deux millions de dollars
Photographes
Auteur
Office national du film du Canada
Date de diffusion
février 7, 1956
Collection
Fonds du MCPC
Référence de source
Fonds du Musée canadien de la photographie contemporaine, Musée des beaux-arts du Canada Bibliothèque et Archives
Texte principal
Depuis la phénoménale vogue de la beauté depuis la fin de la guerre, les écoles de maintien canadiennes sont aujourd’hui un commerce florissant de deux millions de dollars, qui enseignent les séducteurs secrets du maquillage, de la bonne tenue et de la garde-robe à de potentiels mannequins de carrière et aux femmes au foyer. Ce mouvement en faveur de l’amélioration de soi est si grand que l’an dernier, dans la région de Toronto seulement, quelque 8 000 femmes ont dépensé 400 000 $ en cours commerciaux et du YWCA, conçus pour les rendre plus belles sur le podium des défilés ou dans la cuisine. Sur leurs bicyclettes, ces élèves suivent des exercices d’amincissement de la silhouette sous la supervision de l’instructrice et mannequin Hilda Land. Les cours d’amincissement de la silhouette visent à corriger les défauts dus à un manque d’exercice, à un maintien négligé et à un mauvais régime. Le but ultime : la symétrie idéale du parfait 34 po-24 po-34 po.
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