Légende
La conservation rapporte gros aux 700 familles indiennes qui s’occupent des territoires de piégeage isolés sur les 149 000 milles carrés du territoire du castor dans le nord du Québec. Chaque année, ils ont part à la valeur estimée de 500 000 $ que les acheteurs de fourrure paient pour plus de 20 000 peaux de castors envoyées par avion à Montréal pour la vente aux enchères. Derrière cette manne, on trouve un programme fédéral-provincial à long terme pour apprendre aux trappeurs dans les méthodes avancées de contrôle de la fourrure. La tâche des experts du développement de la fourrure : répandre la bonne nouvelle de la conservation chez les trappeurs cris et montagnais, et voir à ce que les peaux de castors des grandes réserves d’Abitibi, de Rupert House, de Mistassini et de Bersimis se rendent sur le marché.
Date de diffusion
février 21, 1956
Matériaux
Texte avec illustrations
Collection
Fonds du MCPC
Référence de source
Fonds du Musée canadien de la photographie contemporaine, Musée des beaux-arts du Canada Bibliothèque et Archives
Légende
Un trappeur indien dépose un piège à castor dans le trou de l’étang. En coopération avec les fonctionnaires de Pêche et Chasse du Québec, les experts en développement de la fourrure de la Direction des Affaires indiennes fédérale font le recensement annuel des castors pour déterminer combien de castors peuvent être piégés de chaque hutte.
Date
mars 1, 1948
Numéro d'acquisition
LAC-NFB38828
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011175741
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
Sous le regard attentif de son fils, l’épouse d’un trappeur indien écorche un castor. Conformément au programme de conservation, les biologistes fédéraux et provinciaux, grâce à une colonie de castors spéciale à Lethbridge en Alberta, s’attaquent au problème des maladies du castor, dont les principales sont la tularémie et la pseudo-tuberculose.
Date
mars 1, 1948
Numéro d'acquisition
LAC-NFB38833
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011175742
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
Dans la vaste réserve de castors d’Abitibi dans le nord du Québec, deux trappeurs indiens de la rivière Harricana retournent en raquettes à leur camp en transportant des castors piégés. Chaque trappeur obtient un quota annuel qu’il peut récolter dans cette région, allant de 10 à 100 animaux.
Date
mars 1, 1948
Numéro d'acquisition
LAC-NFB38834
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011175743
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
Un trappeur enlève la glace et la neige de la fourrure d’un animal qu’il vient tout juste de retirer du piège posé sous la surface de la glace. Aujourd’hui, l’animal national du Canada, qui génère une valeur annuelle de quatre millions de dollars, est devenu moins un symbole qu’une industrie prospère qui s’est taillée une place sûre dans notre économie nationale.
Date
mars 1, 1948
Numéro d'acquisition
LAC-NFB38840
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011175744
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Image not available
Légende
Les trous dans les pattes des peaux de castors tendues sur les séchoirs sont reprisés par l’épouse d’un trappeur du lac Brindle au Québec. Près d’un quart de million de peaux de castors, dont la valeur moyenne s’élève à 18 $, sont récoltées annuellement des réserves de castors du Québec, de la Saskatchewan, du Manitoba et de l’Ontario.
Date
mars 1, 1948
Numéro d'acquisition
LAC-NFB38846
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011175745
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
Un acheteur potentiel admire un manteau de castor dont le prix au détail s’élève à près de 1 000 $. Les fourrures à long poil, autrefois en déclin, reviennent en force. L’an dernier, des peaux de castors ont commandé des prix de 36 à 50 $ à une vente aux enchères de fourrure à Montréal. Montréal est au même rang que Londres, New York et Leningrad comme un centre mondial du commerce de la fourrure.
Date
décembre 1, 1955
Numéro d'acquisition
LAC-NFB75390
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011176153
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Photo-reportage no 45 Le castor d’Abitibi rapporte gros
Photographes
,
Auteur
Office national du film du Canada
Date de diffusion
février 21, 1956
Collection
Fonds du MCPC
Référence de source
Fonds du Musée canadien de la photographie contemporaine, Musée des beaux-arts du Canada Bibliothèque et Archives
Texte principal
La conservation rapporte gros aux 700 familles indiennes qui s’occupent des territoires de piégeage isolés sur les 149 000 milles carrés du territoire du castor dans le nord du Québec. Chaque année, ils ont part à la valeur estimée de 500 000 $ que les acheteurs de fourrure paient pour plus de 20 000 peaux de castors envoyées par avion à Montréal pour la vente aux enchères. Derrière cette manne, on trouve un programme fédéral-provincial à long terme pour apprendre aux trappeurs dans les méthodes avancées de contrôle de la fourrure. La tâche des experts du développement de la fourrure : répandre la bonne nouvelle de la conservation chez les trappeurs cris et montagnais, et voir à ce que les peaux de castors des grandes réserves d’Abitibi, de Rupert House, de Mistassini et de Bersimis se rendent sur le marché.
Sujets
Lieux
