Légende
Parce que des métaux précieux sont traités en grande quantité, il faut prendre des précautions complexes pour prévenir les pertes. Le travail de chaque jour est pesé avec exactitude, tandis que la grille principale (ci-dessus) et les terrains sont protégés par des membres de la Gendarmerie royale. L’immeuble de la Monnaie de style Tudor a été terminé en 1908, date à laquelle a débuté la production de monnaie canadienne.
Date de diffusion
mai 1, 1956
Matériaux
Texte avec illustrations
Collection
Fonds du MCPC
Référence de source
Fonds du Musée canadien de la photographie contemporaine, Musée des beaux-arts du Canada Bibliothèque et Archives
Légende
Partout de l’argent, mais pas un sou de gratuit, se lamentent plusieurs visiteurs en quête de souvenirs à la Monnaie royale canadienne d’Ottawa où, chaque année, plus de 15 000 personnes viennent voir comment on produit des « espèces sonnantes ». Peu le savent, mais des coupures de papier sont fabriquées commercialement à Ottawa. Ici, on trie les flans de cent en cuivre pour l’estampage.
Date
août 1, 1955
Numéro d'acquisition
LAC-NFB74477
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011176098
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
On nettoie, inspecte et pèse individuellement chaque pièce avant son usage. Les pièces imparfaites, qui sont retournées à la raffinerie de la Monnaie, sont refondues. Les pièces qui sont déplacées sur le rouleau (ci-dessus), sont tournées automatiquement pour un examen de l’avers.
Date
août 1, 1955
Numéro d'acquisition
LAC-NFB74479
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011176099
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
L’artiste prépare les nouveaux dessins sous forme de moule de plâtre de 8 pouces duquel sont découpées les matrices d’estampage des pièces par le tour à réduire (ci-dessus). En découpant la matrice, la machine peut également réduire l’image à un diamètre aussi petit que º". Chaque matrice d’acier, montée dans la presse, « frappe » des milliers de pièces avant d’être remplacée par une nouvelle.
Date
août 1, 1955
Numéro d'acquisition
LAC-NFB74485
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011176100
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
Comme des biscuits, les flans sont découpés à l’emporte-pièce dans une bande de métal dont l’alliage et le laminage sont faits à la Monnaie. Introduits dans la presse hydraulique que l’on voit ici, jusqu’à 170 pièces peuvent être estampées. À chaque frappe, l’impression est poinçonnée sur l’avers et l’envers simultanément.
Date
août 1, 1955
Numéro d'acquisition
LAC-NFB74489
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011176101
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Photo-reportage no 54 La Monnaie royale canadienne : une source « d’espèces sonnantes »
Photographes
,
Auteur
Office national du film du Canada
Date de diffusion
mai 1, 1956
Collection
Fonds du MCPC
Référence de source
Fonds du Musée canadien de la photographie contemporaine, Musée des beaux-arts du Canada Bibliothèque et Archives
Texte principal
Parce que des métaux précieux sont traités en grande quantité, il faut prendre des précautions complexes pour prévenir les pertes. Le travail de chaque jour est pesé avec exactitude, tandis que la grille principale (ci-dessus) et les terrains sont protégés par des membres de la Gendarmerie royale. L’immeuble de la Monnaie de style Tudor a été terminé en 1908, date à laquelle a débuté la production de monnaie canadienne.
Sujets
