Légende
Les gardiens de phare sont une race à part. Au Canada, vivre dans les stations isolées et austères qui veillent sur les voies navigables du vaste commerce avec le monde, voient rarement des visiteurs sauf leurs feux. Eux et leurs familles apprennent à accepter la solitude que ne connaissent que leurs pairs. Ces phares font partie du vaste réseau de stations de phares, de sifflets de brume et de bouées dansantes du ministère des Transports, qui dirigent en toute sécurité la navigation le long des côtes périlleuses du Canada. Joseph Mitchell, gardien du phare de l’île Saint-Paul dans la baie de Fundy, utilise un bac à câble aérien pour amener ses enfants sur l’île principale.
Date de diffusion
juin 19, 1956
Matériaux
Texte avec illustrations
Collection
Fonds du MCPC
Référence de source
Fonds du Musée canadien de la photographie contemporaine, Musée des beaux-arts du Canada Bibliothèque et Archives
Légende
Le phare de Race Rocks est entretenu par Gordon Odium, gardien de phare depuis 14 ans. S’occuper d’un phare fait mener une existence solitaire et monotone à Odium, son épouse et leurs quatre enfants, sauf pour l’occasionnelle visite mensuelle du navire de ravitaillement. Ici, Odium grimpe l’escalier circulaire pour allumer son feu d’avertissement triangulaire.
Date
juin 1, 1954
Numéro d'acquisition
LAC-NFB70676
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011175964
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
Les épouses de gardiens de phare, comme Mme Gordon Odium de Race Rocks en Colombie-Britannique, apprennent à planifier les repas un mois à l’avance. Elles dépendent du navire de ravitaillement – qui peut ou non venir deux fois par mois selon la météo – pour tout, de la viande hachée aux vêtements en passant par les gouttes nasales et l’eau à boire.
Date
juin 1, 1954
Numéro d'acquisition
LAC-NFB70698
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011175965
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
Chaque phare – et corne de brume – possède un éclat et un éclipse différents, ou un son guttural, qui font tous partie du langage de la mer. Ils servent de points de repère et d’avertissements, et les marins de passage peuvent vérifier leurs positions par la vue et l’ouïe. Ici, Mme Gordon Odium nourrit le bébé dans la cuisine de leur maison de Race Rocks.
Date
juin 1, 1954
Numéro d'acquisition
LAC-NFB70727
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011175966
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
Dressé 100 pieds au-dessus de son minuscule promontoire de neuf acres, le phare de Race Rocks est une sentinelle sur les rochers et les marées du détroit de Juan de Fuca. Situé à 10 milles de l’île de Vancouver, son feu d’avertissement et son radiophare ont empêché bien des vaisseaux arrivants d’accrocher leur coque sur les récifs embrumés.
Date
juin 1, 1954
Numéro d'acquisition
LAC-NFB70729
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011175967
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
Le gardien de phare Charles Macdonald entretient son feu dans la tour située au sud-ouest de l’île Saint-Paul en Nouvelle-Écosse. Le réseau de phares exploité par le ministère du Transport est le plus dense dans la baie de Fundy où plus de 700 hommes, femmes et enfants s’occupent des phares de Fundy l’année durant.
Date
août 1, 1954
Numéro d'acquisition
LAC-NFB71700
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011176000
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
Archie Macdonald, fils du gardien du phare du sud-est de l’île Saint-Paul dans la baie de Fundy, passe de longues heures à jouer avec son berger allemand. Bien que certaines des stations isolées ne sont pas bien grandes, il y a suffisamment de travail pour tous. Mais le plus dur, c’est d’y être tout simplement.
Date
août 1, 1954
Numéro d'acquisition
LAC-NFB71710
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011176001
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Photo-reportage no 59 Les phares forment un réseau de sécurité
Photographes
,
Auteur
Office national du film du Canada
Date de diffusion
juin 19, 1956
Collection
Fonds du MCPC
Référence de source
Fonds du Musée canadien de la photographie contemporaine, Musée des beaux-arts du Canada Bibliothèque et Archives
Texte principal
Les gardiens de phare sont une race à part. Au Canada, vivre dans les stations isolées et austères qui veillent sur les voies navigables du vaste commerce avec le monde, voient rarement des visiteurs sauf leurs feux. Eux et leurs familles apprennent à accepter la solitude que ne connaissent que leurs pairs. Ces phares font partie du vaste réseau de stations de phares, de sifflets de brume et de bouées dansantes du ministère des Transports, qui dirigent en toute sécurité la navigation le long des côtes périlleuses du Canada. Joseph Mitchell, gardien du phare de l’île Saint-Paul dans la baie de Fundy, utilise un bac à câble aérien pour amener ses enfants sur l’île principale.
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