Légende
Dans le petit village de Koksilah (C.-B.), le magasin de Buster Mathews est le seul point de vente en gros des chandails de Cowichan en Amérique. Puisque les Indiennes ne tricotent qu’à leur gré, le magasin n'a jamais de surstockage de chandails.
Date de diffusion
septembre 25, 1956
Matériaux
Texte avec illustrations
Photographes
Lunney, GarCollection
Fonds du MCPC
Référence de source
Fonds du Musée canadien de la photographie contemporaine, Musée des beaux-arts du Canada Bibliothèque et Archives
Légende
Mme Pat Charlie utilise les mêmes aiguilles courtes et solides en érable depuis plus de 25 ans. Les aiguilles plus longues que neuf ou dix pouces briseraient sous les cinq livres que pèse un chandail de taille 40. Tricotés serrés avec de laine écrue afin de conserver les huiles naturelles, les chandails de Cowichan coupent le vent et sont imperméables.
Date
juillet 1, 1956
Numéro d'acquisition
LAC-NFB77178
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011176278
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
Les moutons noirs, dédaignés ailleurs dans l'industrie lainière, sont très prisés dans les troupeaux de Cowichan, car leur laine écrue sert à orner les populaires chandails de motifs audacieux et distinctifs.
Date
juillet 1, 1956
Numéro d'acquisition
LAC-NFB77180
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011176279
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
Ces moutons ne le savent sans doute pas, mais leur toison est destinée à la célébrité. Tricotés en chandails imperméables par les femmes de la tribu indienne salish de la réserve de Cowichan, ces chandails garnissent les garde-robes de personnes aussi renommées que le premier ministre Saint-Laurent, Harry Truman, lord Alexander et Bing Crosby.
Date
juillet 1, 1956
Numéro d'acquisition
LAC-NFB77181
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011176280
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
Le cardage est effectué avec le peigne cylindrique d’une machine manuelle. Les femmes indiennes tondent les moutons, préparent la laine, puis laissent leur imagination créer les motifs complexes qu’elles utiliseront dans les chandails.
Date
juillet 1, 1956
Numéro d'acquisition
LAC-NFB77182
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011176281
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Légende
Des pièces d'une machine à coudre mise au rebut sont converties en rouet commode. Il faut filer cette lourde laine pour la lisser et obtenir une épaisseur uniforme, une tâche réservée aux fileuses expérimentées.
Date
juillet 1, 1956
Numéro d'acquisition
LAC-NFB77183
Matériaux
Négatif noir et blanc
Photographe
Copie numérique
e011176282
Collection
Office national du film du Canada
Référence de source
Bibliothèque et Archives Canada, Mikan no 4921940
Photo-reportage no 73 La réserve de Cowichan (C.-B.) : Une laine qui a de l’avenir
Photographes
Auteur
Office national du film du Canada
Date de diffusion
septembre 25, 1956
Collection
Fonds du MCPC
Référence de source
Fonds du Musée canadien de la photographie contemporaine, Musée des beaux-arts du Canada Bibliothèque et Archives
Texte principal
Dans le petit village de Koksilah (C.-B.), le magasin de Buster Mathews est le seul point de vente en gros des chandails de Cowichan en Amérique. Puisque les Indiennes ne tricotent qu’à leur gré, le magasin n'a jamais de surstockage de chandails.
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